Sivous êtes à la recherche d’une promotion sur le MacBook Air pour les soldes d’été, sachez que le PC portable d’Apple est à moins de 1000 euros chez Cdiscount. AppleMacBook Pro 16" 2021 M1 Max 10 cœurs - Ordinateurs portables | à partir de 3 609,00 € | Comparer les prix avec Conseils d’achat Comparatifs Avis & Tests produits Apple MacBook Pro 16" 2021 M1 Max 10 cœurs au meilleur prix sur idealo.fr WashingMachine de Intego : le meilleur nettoyeur Mac du marché. Choisir la Washing Machine de Intego, c’est la meilleure solution pour redonner la vitesse de ses débuts à votre ordinateur Apple. Pour moins de 20 euros, ce nettoyeur Mac ultra efficace peut accélérer la vitesse de votre Mac jusqu’à 3x. Comment ? Pourterminer, la Washing Machine vous présente un rapport complet avec tous les fichiers causant le ralentissement de votre ordinateur Apple. Il ne vous reste plus qu’à confirmer leur suppression afin de libérer de l’espace disque. Aussi simple que ça ! Aussi, à coté de cette solution d’optimisation, Intego édite également un outil tout-en-un qui intègre ses meilleurs Cest ce que croit savoir Mark Gurman de Bloomberg.. Il précise qu’Apple pourrait présenter une mise à jour des Apple MacBook Pro 14 pouces et Apple MacBook Pro 16 pouces à la rentrée prochaine. Le design et les fonctionnalités globales seraient les mêmes que les éditions actuelles, mais ils profiteraient des nouveaux processeurs SoC (System-on-Chip) Voustrouverez ci-dessous la(les) réponse(s) exacte(s) à NOM COMPLET DE MAC ORDINATEUR D APPLE que vous pouvez filtrer par nombre de lettres. Si les résultats fournis par le moteur de solutions de mots fléchés ne correspondent pas, vous trouverez une liste de résultats proches en cliquant sur Afficher les résultats proches. xzxe. Attendue autour de 2025, la première voiture Apple sera autonome et bourrée d'informatique. Du côté du chassis et de la carrosserie, Apple fait le pari des portes coulissantes et, semble-t-il, d'un véhicule parfaitement Découvrez Vitamine Tech, le rendez-vous hebdomadaire de la tech et de la mobilité ! - Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Hiriko, la voiture pliable Des entrepreneurs espagnols ont développé un nouveau concept imaginé par le MIT la voiture électrique urbaine pliable ! Hiriko, c’est son nom, peut également pivoter sur elle-même. Comme le casque de réalité virtuelle, l'Apple Car n'a aucune date de sortie, mais la firme continue de déposer des brevets sur la conception de son premier véhicule. Connu sous le nom de Projet Titan », il s'agirait d'une voiture autonome, et les brevets déposés et validés cette semaine en disent plus sur la on découvre que la voiture sera équipée de quatre portes coulissantes avec une forme quasi symétrique. À se demander s'il y aura un avant et un arrière dans ce véhicule puisque les brevets montrent des sièges, ou plutôt des fauteuils, qui peuvent pivoter pour que les passagers se retrouvent face à face. On s'oriente donc vers une sorte de salon roulant » et plusieurs variantes seraient possibles avec, par exemple, une seule porte coulissante comme il en existe beaucoup actuellement sur des modèles grand question des données personnellesAu niveau des commandes, les brevets évoquent l'utilisation d'un contrôleur », terme employé habituellement dans le jeu vidéo ou l'informatique de manière générale. On ne sait pas s'il s'agira d'un volant ou d'un joystick, mais il permettra de diriger et contrôler le fonctionnement du véhicule » et de passer d'un mode à un autre manuel, semi-autonome, ce contrôleur, il sera possible de modifier les réglages et les commandes de la voiture ; Apple parle d'un système de capteurs. On note aussi un passage sur les données personnelles » puisque le véhicule enregistrera des données propres à chaque utilisateur pour contrôler les systèmes de véhicules automatisés afin de prendre et de déposer les utilisateurs à des endroits désignés ».Apple Car découvrez à quoi elle ressemblerait d'après les brevetsToujours en développement sous le nom de Project Titan, la voiture électrique d'Apple inspire les designers de la société de leasing Vanarama qui l'ont imaginée par le biais de ses le 21 novembre 2021 par la rédaction de FuturaJamais une voiture n'aura suscité autant de rumeurs et sur une telle période depuis si longtemps. La voiture d'Apple, ou Apple Car, est un modèle faisant régulièrement l'actualité depuis plus d'une décennie. Mais, en 2021, elle semble plus réelle que jamais, à la suite de brèves discussions avec le groupe coréen Hyundai, ou encore le fabricant de batteries chinois le site de leasing Vanarama n'attend pas une éventuelle officialisation de l'auto. Le ou les ? designer a voulu matérialiser l'Apple Car de la manière la plus fidèle possible en s'appuyant sur les brevets déposés par la bulle de technologieSur le site, un concept virtuel en 3D offre un style très original. La particularité est le pavillon entièrement vitré, sans montant avant ni central. Si cette structure paraît fragile, elle se base bien sur un brevet où Apple étudie un accès facile à bord, notamment via des portes antagonistes. Dommage que ce concept ne retienne pas le brevet de vitres teintées carrosserie est celle d'une berline rehaussée dans l'esprit d'un SUV, aux optiques à bandes simplistes. Certains détails s'inspirent des autres appareils Apple, dont la calandre avant, façon aérations de l'ordinateur Mac Pro, ou les poignées de portes bouton d'iPhone ».Un écran géant personnalisable avec SiriL'intérieur est à l'image de l'extérieur, minimaliste. Si les quatre sièges sont trop fins, mais pivotants pour former une configuration salon », la planche de bord est un bond dans le futur. Le brevet d'Apple donne la piste d'un écran gigantesque en un bloc, dont la répartition des menus et fonctions est personnalisable à l'écran répond aussi à la voix, en passant par un assistant basé sur Siri. Celui-ci vient aussi apporter des suggestions, par exemple de conduite ou d'ambiance. Pour le reste, aucune donnée technique, que ce soit pour la batterie ni de moteur ou conduite autonome. Soyons patients, aucune Apple Car n'est encore officielle. Espérons que le projet ne tombe pas à l'eau comme ceux de Dyson ou de la Google Top 18 des plus belles voitures électriquesLa BMW i8, une voiture de sport hybride rechargeable La BMW i8 n’est pas en reste dans la course des voitures à faible consommation de carburant et d’émissions de particules. Sur cet aspect, la voiture de sport hybride rechargeable affiche sa volonté de concurrencer les citadines. Les roues arrière sont entraînées par un moteur TwinPower Turbo développant 231 cv, tandis que les roues avant sont mues par un moteur électrique de 131 cv. La BMW i8 affiche une accélération de 0 à 100 km/h en 4,4 s et une vitesse maximale de 250 km/h. La batterie lithium-ion permet une autonomie de 35 km en tout électrique. © Andy_BB, CC by-nc La Porsche 918 Spyder, la voiture de sport électrique La Porsche 918 Spyder signe le début d’une nouvelle ère pour les voitures de sport. Ce véhicule hybride rechargeable de 887 cv possédant deux moteurs électriques a été présenté en version définitive au Salon de l’Automobile de Francfort en 2010. Sa carrosserie en polymère renforcée de fibre de carbone et son châssis en aluminium cachent un moteur V8 atmo de 608 cv, et deux moteurs électriques Bosch développant 279 cv de puissance, portant le total à 807 cv. La performance conjointe du moteur à combustion et des moteurs électriques permettent au véhicule d’atteindre 345 km/h. La vitesse maximale de la propulsion électrique est de 150 km/h. Les tests effectués sur l’anneau nord de l’anneau de Nürburgring ont permis à la 918 Spyder de boucler les presque 21 km en 6 mn 57 s. Son prix ? Quand on aime, on ne compte pas euros et euros pour la version Pack Weissach en 2010. © Thomas Wolf, CC by-sa DE La Spark Renault SRT 01E La Spark Renault SRT 01E est une voiture de course électrique, résultat d’une étroite collaboration entre Spark Racing Technology, McLaren Electronic Systems moteur, William Advanced Engineering pack batterie, Dallara chassis et Renault. Elle a été officiellement présentée au Salon de l’Automobile 2013 de Francfort. Le moteur qui développe 270 ch est incorporé dans une coque en fibre de carbone et d’aluminium en nid d’abeilles. Les pneus de 18 pouces sont conçus par Michelin. La Spark Renault SRT 01E a été la seule voiture électrique à concourir dans le championnat de course automobile 2014-2015, utilisant des monoplaces de Formule E organisé par la FIA. Départ arrêté, il lui faut trois secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Sa vitesse maximale est de 225 km/h. © NIL L, CC by-nc L'Audi A3 Sportback e-tron L’Audi A3 Sportback e-tron est le premier programme hybride rechargeable de la marque. Le moteur thermique développe 150 cv, tandis que le moteur électrique possède 134 cv. La batterie lithium-ion est encombrante et prend beaucoup de place dans le coffre. Elle pèse 300 kg à elle seule, ce qui n’empêche pas la voiture de passer de 0 à 100 km/h en 7,6 secondes. La vitesse de pointe maximale est de 222 km/h. Si l’autonomie de la batterie électrique seule est limitée à 50 km sur route et à 25 sur autoroute, la combinaison des deux moteurs permet de descendre la consommation d’essence à 1,5 L/100 km. © Bahooka, CC by-sa La Fisker Karma, une voiture électrique à prolongateur d’autonomie La Fisker Karma se distingue des autres véhicules électriques ou hybrides à plus d’un titre. Sa ligne a été conçue par le designer danois Henry Fisker et puise son inspiration dans l’Aston Martin DB9 et la BMW Z3. Le véhicule est assemblé par l’usine finlandaise Valmet Automotive, pour le constructeur américain Fisker Automotive. Sur le plan technique, le véhicule est équipé d’un moteur thermique Opel suralimenté par un turbocompresseur développant 212 cv. Il est également doté de deux moteurs électriques de 150 kW chacun pour un total de 408 cv. C’est bien une voiture électrique, car le moteur thermique n’actionne pas les roues directement. Il est destiné à recharger les batteries et se classe ainsi parmi les véhicules électriques à prolongateur d’autonomie. © Fisker Automotive, by-nc La Smart Fortwo electric drive, une citadine électrique La Smart Fortwo electric drive est une citadine électrique française fabriquée à Hambach, en Moselle. La voiture peut être acquise avec ou sans location de batteries. La location n’est pas dépendante du kilométrage parcouru au contraire d’autres concurrents. Son moteur se décline en 55 et 75 cv pour une autonomie donnée de 145 km. Mais cette dernière n’excède pas les 100 km dans des conditions de circulation urbaine ou plus complexe montagne, nuit, charge… et probablement moins en hiver si l’on utilise le chauffage. Le temps nécessaire à la recharge de la batterie est de 7 heures sur une prise domestique de 220 V. © Smart, CC by-sa La Kia Soul EV, un crossover électrique La Kia Soul EV est le premier véhicule électrique de la marque sud-coréenne. Alimenté par une batterie lithium-ion-polymère de 110 cv, ce petit crossover urbain possède une autonomie de 200 km et sa vitesse de pointe peut atteindre 145 km/h. Comme les autres modèles de sa gamme à moteur thermique, Kia propose une garantie de 7 ans ou km batterie incluse. La Kia Soul EV peut se recharger sur une prise électrique domestique mais il faudra huit heures pour que la batterie retrouve son efficacité totale. Sur la borne de recharge rapide Chademo, 30 mn suffisent pour que la batterie retrouve 80 % de son efficacité. © Harry Nl, CC by-nc La Lexus CT 200 h de Toyota La Lexus CT 200 h représente le luxe version hybride de la marque Toyota. Le moteur électrique développe 82 cv et le moteur thermique 99 cv. Les deux réunis fournissent une puissance de 136 cv. L’autonomie mentionnée par le constructeur est de 983 km, mais en mode électrique, elle n’est que de 2… La vitesse maximale du moteur thermique est de 180 km/h, tandis que l’électrique plafonne à 45 km/h avant que le moteur classique ne prenne le relais. Sa consommation est donnée à 3 L/100 km avec un rejet de CO2 de 82 g/km. © Autoviva, CC by La Mercedes Classe A E-Cell La Mercedes Classe A E-Cell est une voiture électrique citadine propulsée par deux batteries lithium-ion de haute capacité. Ces dernières développent une puissance de 95 cv pour une autonomie de 160 km en moyenne. Sa vitesse maximale est de 150 km/h. La recharge s’effectue en 8 heures à partir du réseau domestique et de 3 heures sur les bornes à chargement rapide. © Edoardo Mascalchi, CC by-nc La MiEV de Mitsubishi La MiEV de Mitsubishi est une voiture citadine électrique de quatre places fabriquée au Canada pour la modique somme de dollars euros au cours actuel ! Malgré une incitation non négligeable du gouvernement, le particulier devra malgré tout débourser encore dollars euros au cours actuel. Batterie lithium-ion chargée, le véhicule peut parcourir 150 km. Sa vitesse maximale est de 120 km/h. Le temps de charge sur le réseau domestique est de 7 heures, et de 30 minutes pour alimenter la batterie à 80 %. Elle est commercialisée en France depuis janvier 2011, pour un prix sensiblement similaire euros desquels il faut déduire le bonus écologique étatique. © CC by La Renault Twizy ZE, une voiture électrique urbaine La Renault Twizy ZE est un véhicule ultra-compact urbain de deux places, entièrement électrique et commercialisé à prix concurrençant les motos à trois roues. Il est en effet disponible à partir de euros mais livré sans portes ni fenêtres… Ces dernières sont en options. Il existe deux versions la Twizy 50 sans permis et la 80 avec permis B. L’autonomie de cette dernière est d’environ 100 km. Les distances parcourues lorsque la batterie lithium-ion est chargée peuvent être revues à la baisse selon les conditions climatiques. La Twizy 45 développe 5 cv et sa vitesse maximale est de 45 km/h, tandis que la Twizy 80 atteint 17 cv pour une vitesse de pointe de 80 km/h. © Mhobl, CC by-nc La Toyota Prius hybride Plugin La Toyota Prius hybride Plugin est une berline hybride dont le moteur thermique développe une puissance de 98 cv, et le moteur électrique 80 cv pour une autonomie maximale de 20 km. Au-delà, c’est le moteur à combustion qui prend le relais et qui recharge la batterie lithium-ion. Il faut 3 h à partir d’une prise reliée au réseau domestique pour que la charge soit complète. La vitesse classique est de 180 km/h et en mode EV electric vehicle, en anglais, le véhicule ne dépasse pas les 100 km/h. La Toyota Prius hybride Plugin affiche une consommation relativement basse de 2,6 L au 100 km. Pour une voiture de cette gamme, le prix reste toujours dissuasif mais plus cohérent que celui de la Mitsubishi canadienne. Elle est commercialisée à partir de euros, un prix auquel il faut déduire le bonus écologique. © DR La Renault Zoe Concept La Renault Zoe Concept tout électrique a tout d’une petite citadine branchée au sens propre comme au figuré. Sa conception est unique car son toit protège autant du chaud que du froid et optimise la gestion de la température intérieure grâce à des cellules photovoltaïques disposées en nid d’abeilles. Sa batterie électrique lithium-ion développe 95 cv pour une autonomie moyenne de 160 km/h et à une vitesse maximale de 140 km/h. Le temps de recharge sur le circuit électrique domestique est de 8 h, de 20 mn sur une borne rapide et de 3 mn grâce au système Quick-Drop d’échange de batterie. Ce modèle non commercialisé préfigurait en 2009 les Renault Zoe actuellement en circulation. © LSDSL, CC by-sa La Tesla Roadster, une voiture électrique à l'autonomie record La Tesla Roadster est l’une des premières voitures de sport électriques à avoir été commercialisées. Conçue par Tesla Motors, en Californie, en collaboration avec Lotus Cars pour le châssis, elle annonce une autonomie record de 400 km. Ses performances sont également exceptionnelles. Propulsée par une batterie lithium-ion développant 288 cv, elle est capable de passer de 0 à 100 km/h en 3,9 secondes. La version sportive parcourt la même distance en 3,7 secondes et atteint 212 km/h en vitesse de pointe. © Tesla Motors Inc. OTRS, CC by-sa La Rimac Concept One La Rimac Concept One a été mise au point en Croatie par Mate Rimac. Ce véhicule possède la même architecture que l’Audi R8 e-tron qui possède trois moteurs électriques de 250 kW chacun. Ce pack batterie lithium-fer-phosphate pèse à lui tout seul 700 kg et son autonomie est d’environ 600 km. Ses performances sont exceptionnelles. La Rimac Concept One est capable de passer de 0 à 100 km/h en 2,8 secondes et sa vitesse de pointe est de plus de 300 km/h. C’est de loin la plus performante des voitures sportives électriques, qui aurait davantage de légitimité à porter le nom de Tesla inventeur de génie croate que les voitures du constructeur californien Tesla Motors… © The Car Spy, CC by La Quant e-Sportlimousine, la voiture qui roule à l'eau salée Présentée en mars 2014 au salon de l’automobile de Genève, la Quant e-Sportmilousine est un ovni dans la gamme des berlines sportives. La voiture est fabriquée par NanoFlowcell, une société luxembourgeoise, et utilise une technologie encore expérimentale. Son système de propulsion fonctionne à… l’eau salée. Le véhicule est équipé de quatre moteurs électriques développant une puissance globale de 920 cv. Les deux liquides positif et négatif qui alimentent les batteries ne se mélangent jamais. Ils produisent une électro-réduction qui s’effectue à l’extérieur des batteries. Il suffit de remplir les réservoirs comme on va à la pompe pour une voiture classique. Mais le développement des pompes d’eau salée n’est pas encore démocratisé… Si ce véhicule aux portes à ouverture papillon est prometteur, sa commercialisation n’est pas encore pour demain. © Quant, CC by La Volkswagen e-Up La citadine compacte Volkswagen e-Up, présentée au salon de l’automobile de Francfort en septembre 2013, ne démérite pas par rapport aux autres véhicules de cette gamme. Son moteur électrique entraîné par une batterie lithium-ion développe 82 cv pour une vitesse maximale de 135 km/h. La recharge à 80 % sur une borne rapide dure 30 mn, alors qu’il faut près de 9 heures sur le réseau électrique domestique. Son autonomie est d’environ 165 km selon les conditions de conduite, de climat et de charge. © DR La Venturi Fetish, un roadster électrique La Venturi Fetish est la première voiture de sport électrique à avoir été conçue par le constructeur français Venturi à Monaco. Dès 2004, ce véhicule affiche des performances hors du commun pour une voiture entièrement électrique. Son design futuriste cache un moteur de 300 cv pour un poids de kg. Ce roadster deux places est capable d’une accélération de 0 à 100 km/h en 4 secondes. La vitesse maximale est de 200 km/h et son autonomie de 340 km. La Fetish reste cependant un véhicule hors de portée des bourses moyennes avec son prix affiché de €, d’autant que son constructeur a décidé de ne fabriquer que 25 véhicules dans le monde. © Venturi Automobiles, CC by-sa Intéressé par ce que vous venez de lire ? Le MacBook Air M1 est le premier ultraportable totalement silencieux d'Apple utilisant sa propre puce M1. Nous l'avons testé. Source Frandroid En 2020, j’ai testé mon tout premier Mac et l’expérience était réussie, mais pas sans défaut. Je n’avais pas vraiment été convaincu par les performances de la machine notamment. Difficile de dire si j’ai bien ou mal choisi mon timing, mais quelques mois après ce test, Apple annonçait sa grande transition vers ses propres puces, promettant plus de performances. Voici donc le test de l’un des premiers porte-étendards de cette révolution en devenir, le MacBook Air équipé d’une puce Apple M1. Fiche technique du MacBook Air M1 Modèle Apple MacBook Air 2020 M1 Taille de l'écran pouces Définition 2560 x 1600 pixels Technologie d'affichage LCD Écran tactile Non Processeur CPU M1 Puce Graphique GPU Apple GPU Mémoire vive RAM 8 Go, 16 Go Mémoire interne 256 Go, 512 Go, 1024 Go, 2048 Go Norme Wi-Fi Wi-Fi 6 ax Version du Bluetooth Système d'exploitation OS macOS Dimensions 304,1 x 4,1 x 212,4 mm Poids 1290 grammes Prix 1 098 € Fiche produit L’innovation n’est pas dans le design Les ingénieurs d’Apple ne se sont clairement pas concentrés sur le design extérieur pour le développement de ce premier MacBook Air équipé d’une puce Apple M1. Il reprend en fait trait pour trait le design du MacBook Air version 2020. On retrouve ainsi les finitions exemplaires qui nous avaient beaucoup plu il y a un an, mais aussi cet écran un peu vieillot avec des marges de près d’un centimètre de chaque côté. Source Frandroid Apple a très clairement misé sur une réutilisation de ses chaînes de production et un investissement minimal sur le design pour ce produit. Tout cri la réutilisation du châssis de 2020. À l’intérieur se cache en principe une nouvelle carte mère, adaptée au changement de puce opéré par Apple. Ce qui est intéressant, c’est surtout ce que ne cache plus le châssis le MacBook Air M1 n’intègre pas de ventilateur. De quoi promettre un silence complet en fonctionnement. Source Frandroid Hormis l’absence d’écran borderless, on peut reprocher à ce MacBook Air son poids de 1,29 kg qui fait assez lourd en main. Sur cette gamme de prix, on aimerait voir Apple aller chercher des poids plume plus légers que ça. Là aussi on paye une certaine paresse d’Apple en matière de design. Si on peut paraître dur ici, c’est aussi parce qu’on devine bien la stratégie d’Apple. La marque prépare très probablement un redesign complet de son produit pour la prochaine génération. Clavier et touchpad Le design est identique à celui de l’an dernier, et cela vaut pour le couple clavier et trackpad. On retrouve le nouveau » clavier à ciseaux d’Apple, c’est-à-dire celui que la marque utilisait avant son affreux clavier papillon. Il offre une très bonne frappe et un rétroéclairage agréable. Attention si vous êtes habitué aux PC, il faudra s’habituer à la disposition des touches propres à Apple. Source Frandroid Le trackpad gère le Force Touch, qui permet de détecter la pression exercée lorsque vous appuyez sur la surface. Une forte pression pourra par exemple service de clic droit, alors qu’un simple effleurement permettra de sélectionner l’élément. La taille du trackpad permet une navigation très confortable. Connectique Comme Apple abandonne Intel, on pouvait craindre le pire du côté des ports Thunderbolt, une technologie Intel. Heureusement, la marque a fait le travail nécessaire pour assurer une continuité et on garde donc les deux ports USB-C Thunderbolt 3 à 40 Gbit/s, compatible avec la future norme USB 4. Ces ports peuvent transmettre des données, de la vidéo DisplayPort, mais aussi charger la machine. Source Frandroid Source Frandroid À la droite, on a un simple port jack 3,5 mm, un peu insolite sur un produit d’Apple, mais toujours bien pratique. Un bel écran bien défini Le MacBook Air est équipé d’un écran de 13,3 pouces IPS avec une définition de 2560 x 1600 pixels. Sur le papier, Apple annonce une luminance de 400 nits et une couverture du spectre DCI-P3. Nous ne reviendrons pas sur l’intégration de l’écran. L’affichage est très agréable à l’œil nu, et Apple propose ses technologies de réglage automatique de la balance des blancs en fonction de la lumière de votre environnement. On note que la dalle est assez brillante, et donc sujette aux reflets. Une fois sous notre sonde et grâce au logiciel Calman, l’écran nous révèle une couverture à 101 % du spectre sRGB et seulement 68 % du spectre DCI-P3. Je suspecte macOS, à l’instar d’iOS, de forcer un affichage du spectre sRGB sauf sur une certaine liste blanche d’applications choisies par Apple pour afficher le DCI-P3. On relève une température moyenne des couleurs de 5342K, loin des 6500K souhaités pour atteindre la lumière blanche du soleil. Le Delta E moyen mesuré est de 4,47 pour un deltaE max de 9,55. Il ne faudra donc pas totalement se fier à l’écran de ce MacBook Air pour du travail créatif, même si la précision reste tout à fait correcte. La luminosité maximale que nous avons mesurée est de 353 cd/m² pour un taux de contraste de seulement 9321, c’est pour le moins léger sur un produit de cette gamme de prix. On s’attendait à des noirs plus profonds. Notez que la luminosité maximale est toujours bridée logiciellement par macOS. Une webcam en retrait, des haut-parleurs de qualité On l’a dit, Apple n’a pas vraiment changé le design de son MacBook Air. Sans grande surprise, la marque a aussi choisi de conserver la médiocre caméra intégrée au-dessus de l’écran. On espère que le fabricant proposera un capteur de meilleure qualité sur les prochaines générations, à l’image de ce que la marque peut proposer sur un iPhone frontalement. La qualité de l’appareil photo laisse à désirer On est en revanche beaucoup plus satisfait de la qualité sonore proposée par les haut-parleurs de la machine. Répartis de chaque côté du clavier, ils offrent un son parfaitement suffisant pour regarder des films, ou même des clips de musique. Évidemment la qualité n’est pas aussi bonne qu’avec un bon casque sur les oreilles, mais le son a le mérite de ne jamais saturer, même à haut volume. Le niveau de basse est assez convaincant, mais les aigus restent en retrait. mac OS passe à l’ARM Le MacBook Air embarque macOS Big Sur dans sa version pour les processeurs Apple, basés sur l’architecture ARM. A première vue, difficile de voir la différence. On retrouve le macOS que l’on connait bien, avec son dock, son bureau, ses menus. Si vous n’avez pas goûté à Big Sur, cette nouvelle version propose une refonte de l’interface très réussie. On apprécie particulièrement le menu Control Center pour gérer facilement le Wi-Fi, le Bluetooth et les périphériques. Le control center est pratique à utiliser Les widgets iOS sont désormais intégrés à MacOS Le plus intéressant est évidemment de comprendre comment Apple gère sa transition vers ARM. Pour rappel, un logiciel développé pour une plateforme Intel, ce qu’utilisait Apple avant, n’est pas compatible apriori avec ARM. Pour assurer la compatibilité de son écosystème de façon transparente, Apple propose deux options. D’abord il y a évidemment les applications natives, c’est le cas de toutes les applications Apple et de beaucoup d’applications de l’App Store elles sont été compilées pour ARM et se comportent donc parfaitement sur ce MacBook Air. Il y a ensuite l’émulation avec Rosetta 2, c’est ce qui est utilisé pour tous les logiciels qui n’ont pas encore été mis à jour, comme Steam par exemple. Rosetta est nécessaire pour installer une application Intel x86 Enfin il y a une troisième méthode, un peu à part des deux options pensées pour macOS. Il s’agit de la possibilité d’installer des applications iOS pour iPhone ou iPad. Comme ces applications sont conçues à l’origine pour ARM, Apple proposer aux développeurs de proposer leurs applications pour les Mac compatibles. Une expérience complètement transparente Lors de mes semaines de tests, je n’ai rencontré aucun problème d’applications incompatibles. J’ai pu installer et lancer tous les logiciels que je voulais utiliser Microsoft Edge, Slack, OneNote, Discord et Steam, pour ne citer qu’eux. Je n’ai jamais vu de différences de performances entre les applications émulées et les applications natives, tout est parfaitement réactif et performant. Epic Games et Microsoft Edge fonctionnent sans problèmes Sur ce point, Apple semble faire un sans-faute. Ce que je n’avais pas constaté du tout lorsque j’avais testé des machines Windows 10 pour ARM, dont les performances étaient souvent catastrophiques. En revanche, je suis beaucoup plus critique de l’intégration des applications iOS sur macOS. On est très loin de retrouver la myriade d’applications disponible sur iPhone ou iPad. J’ai tenté plusieurs recherches sur l’App Store, d’applications pourtant populaires comme Spotify ou OneNote, sans jamais les trouver en version mobile ». L’App Store ne trouve pas l’application Microsoft OneNote en version iOS La boutique d’application du Mac n’est clairement pas aussi vivante que son équivalent mobile, peut-être parce que les développeurs ont la liberté sur cette plateforme de proposer leurs applications par d’autres voies, directement sur leur site officiel par exemple. La performance dans un silence absolu On aborde l’un des points les plus importants de ce test, les performances. Après avoir testé les PC sous Windows 10 avec processeur ARM, on pouvait craindre le pire concernant les performances de ce MacBook Air M1. Vous l’avez sans doute compris sur au chapitre logiciel de ce test, il n’en est rien. Cette puce Apple M1 est une vraie petite prouesse de la part des ingénieurs de Cupertino. D’abord au quotidien, on ne ressent jamais aucun ralentissement sur ce MacBook Air M1. J’ai pu tout à fait remplacer ma machine de travail, écrire des articles tout en jouant des vidéos YouTube qui s’affichaient sur un second écran, sans jamais arriver aux limites de cet ultraportable. Pour mesurer exactement les performances de la machine, nous avons lancé notre test CineBench R23. Après 20 minutes de test en boucle, le logiciel affiche un score de 1491 points sur un seul cœur, et 6772 points sur plusieurs cœurs. Avec ce score, le MacBook se permet de faire mieux que le ZenBook 14 équipé d’un processeur Intel Core i7-1165G7. Là où cela devient très impressionnant, c’est que le processeur Intel a une dissipation thermique de 12 à 28W selon sa configuration, tandis que le M1 d’Apple se contente de 10W. C’est ce point qui permet à Apple de concevoir un PC portable sans aucun refroidissement actif. Je n’ai d’ailleurs pas noté de baisse significative des performances même après une longue session de travail. Sur ce point, la marque à la pomme réalise un sans-faute à mon sens. Elle propose mieux que son désormais concurrent, tout en offrant une meilleure expérience utilisateur. Le silence de fonctionnement est vraiment quelque chose d’appréciable pour une machine de travail. Et les jeux ? On sait que faire tourner des jeux gourmands est inaccessible aux machines Intel sans puce graphique dédiée, mais qu’en est-il de ce MacBook Air M1 ? La première difficulté est d’abord de trouver des jeux compatibles, avec ARM évidemment, mais aussi et surtout, avec macOS qui n’est définitivement pas une plateforme idéale pour le jeu vidéo. On a tout de même pu installer Fortnite, qui tournait sans trop de problèmes avec les réglages élevés à 30 images par seconde. Le jeu tourne en réglage élevé Fortnite tourne bien Nous avons tout de même rencontré un plantage du jeu, heureusement pendant un temps de chargement. Impossible de savoir si le problème venait de Rosetta ou de Fortnite directement. Reste que c’est un véritable tour de force de la part d’Apple. Le jeu tourne mieux que sur une machine Intel, sans ventilateur et à travers la couche d’émulation Rosetta. Une très bonne autonomie, mais sans révolution L’autonomie est forcément un sujet crucial pour ce nouveau MacBook Air. Dans l’esprit collectif, un passage vers ARM doit amener un bond en autonomie pour n’importe quelle machine face aux processeurs Intel ou AMD réputés plus gourmands. Dans les faits, c’est un peu plus compliqué que ça. Commençons par dire que le MacBook Air a tout de même une excellente autonomie. J’ai pu travailler toute une journée sans aucun problème avec de multiples onglets et du streaming vidéo en tâche de fond. Sur une journée plus copieuse, le PC est tombé de 100 à 10 % entre 9h et 18h. C’est la journée durant laquelle j’ai fait une première session de Cinebench et Fortnite, des tâches plus gourmandes que de la navigation web. Ce sont d’excellents résultats, mais loin de la révolution que certains pouvaient attendre. Il y a tout de même plusieurs points qu’il faut souligner, si l’on compare avec ce que Intel proposait. D’abord, la mise en veille et la sortie de veille sont toutes les deux bien instantanées. On retrouve ici l’expérience smartphone », on ouvre le PC et il est déjà prêt à nous accueillir et à se déverrouiller. D’autre part, j’ai noté que l’autonomie était davantage prévisible que sur les machines Intel que j’ai l’habitude de tester. Les machines Intel ont parfois tendance à rentrer dans un mauvais cycle de consommation où la machine chauffe, donc demande plus d’énergie, donc chauffe davantage, et donc consomme encore plus. Ici, la machine n’ayant pas de système de refroidissement, et le processeur maitrisant mieux sa consommation, je n’ai pas noté ce comportement lors de mes tests. La diminution de la batterie était bien plus régulière dans le temps. Un autre point à relever est la très faible consommation de la machine en veille, ou lorsque l’on n’a pas de tâche active idle. C’est sur ce genre de cas assez précis où le MacBook Air M1 fait bien mieux que ses concurrents sous Intel ou AMD. Prix et disponibilité du MacBook Air M1 Le MacBook Air M1 est commercialisé à partir de 1129 euros par Apple pour la version équipée de 256 Go de stockage et 8 Go de RAM. C’est un excellent prix que propose Apple avec son premier ultraportable équipé d’une puce ARM. Ce prix le place entre les gammes Ryzen 5000U, souvent situés autour des 1000 euros, et les ultraportables Intel que l’on trouve sur cette gamme de finitions au-dessus des 1200 euros. Nos smartphones ont rapidement remplacé les appareils photos classiques et nous avons tous tendance à les dégainer pour prendre nos nombreux clichés. Fatalement, ces souvenirs finissent par saturer la mémoire de stockage du téléphone. Il est possible de sauvegarder les photos et vidéos prises à partir de notre iPhone sur le service de stockage en ligne d’Apple appelé iCloud qui offre 5 Go de stockage gratuits. Mais cette capacité étant vite atteinte, il est nécessaire de régulièrement la libérer. Bien que le moyen le plus classique pour transférer les photos consiste à connecter votre iPhone à votre ordinateur avec un câble Lightning-to-USB, d’autres alternatives peuvent se montrer bien plus pratiques pour certains. Sans même avoir à passer par iTunes qui par ailleurs n’existe plus ou encore sans avoir à payer pour bénéficier de davantage de capacité de stockage. On vous explique tout, pas à pas. Et si vous cherchez un nouvel ordinateur Mac ou PC, n’hésitez pas à jeter un oeil à notre catalogue ! Et si vous cherchez un guide complet de l’iCloud Drive, c’est par ici ! Transférez vos photos sur Windows iCloud depuis Windows L’application iCloud est compatible depuis longtemps sur les versions Windows. Pour Windows 10, les géants Microsoft et Apple ont même travaillé ensemble pour rendre les fichiers plus facilement accessibles. Sur Windows 10, vous pouvez directement vous rendre sur le Microsoft Store pour télécharger le logiciel iCloud pour Windows. Sur les versions antérieures, vous aurez la possibilité de le télécharger depuis le site d’Apple. Une fois l’installation réalisée, redémarrez votre ordinateur et ouvrez le logiciel, s’il ne s’ouvre pas automatiquement, et renseignez votre identifiant Apple pour vous connecter à votre iCloud. Il ne vous restera ensuite plus qu’à choisir les données que vous souhaitez synchroniser avec votre ordinateur. Pour vos photos, cliquez sur l’onglet Photos, sélectionnez la ou les photos que vous souhaitez transférer, cliquez sur Télécharger et patientez durant le téléchargement. Vos photos seront par défaut triées par année. CopyTrans Cloudly Logiciel clair et intuitif, CopyTrans Cloudly n’est autre qu’une alternative à l’iCloud pour Windows. Simple et rapide à installer, il vous permettra de récupérer vos photos sur votre PC en seulement trois clics. Un jeu d’enfant ! Cerise sur le gâteau, au-delà du fait que la qualité, le format et la structure de vos photos soient conservés, ce logiciel respectera également la structure de vos dossiers sans créer de doublons et vous pouvez arrêter le transfert et le reprendre à tout moment. Une fois que vous aurez téléchargé le logiciel CopyTrans Cloudly sur votre PC, lancez-le et renseignez votre identifiant Apple ainsi que votre mot de passe. Entrez ensuite le code de vérification qui vous sera envoyé. Une fois ces étapes passées, dans le menu principal du logiciel, il ne vous restera qu’à sélectionner l’action que vous souhaitez télécharger, supprimer vos photos ou encore récupérer les photos supprimées si vous désespérez d’avoir malencontreusement supprimé définitivement » une ou plusieurs photos, sachez que ces dernières sont conservées quelque temps sur les serveurs de la marque à la pomme et qu’il vous sera donc possible de les retrouver. Sélectionnez ensuite le dossier ou la clé USB où vous souhaitez conserver vos photos et patientez durant le téléchargement. Transférez vos photos sur Mac iCloud depuis le Mac Le service iCloud, que l’on appelle également petit nuage, est installé par défaut sur tous les ordinateurs Apple depuis l’OS X Yosemite et son interface simple permet une utilisation rapide. Pour l’utiliser Sélectionnez Préférences système disponible dans le Dock Cliquez sur l’option iCloud, Photos puis Options Cochez la case Photothèque iCloud ou Photos iCloud Ouvrez l’application Photos sur votre Mac Vos photos prises avec votre iPhone seront automatiquement transférées sur votre Mac dans leur format d’origine. Importer les photos vers le Mac avec le Flux de Photos Le Flux de Photos vous permet de transférer automatiquement les photos de votre iPhone vers votre Mac lorsque votre smartphone se trouve dans une zone Wifi. Pour ce faire, vous devez l’activer sur votre iPhone et sur votre Mac Ouvrez l’application Paramètres de votre iPhone Cliquez sur la bannière où figure votre nom en haut de la page Appuyez sur iCloud et sélectionnez Photos Activer Télécharger vers mon Flux de Photos Sur votre Mac, dans le menu Apple en haut de l’écran, ouvrez Préférences Système Sélectionnez iCloud et connectez-vous Cliquez sur Options à côté de Photos et cochez la case à côté de Mon Flux de Photos Notez que vos photos resteront dans le Flux de photos durant 30 jours à hauteur de 1000 photos si vous ne faites pas en sorte qu’elles soient automatiquement téléchargées sur votre Mac. Pour la configuration de cette option Sur votre Mac, ouvrez l’application Photos et sélectionnez Préférences, puis Général Cochez la case à côté de Importation Copier les éléments dans la photothèque». Ce ne sont pas les logiciels qui manquent sur Mac. Que l’on utilise le Mac App Store ou qu’on passe directement par les sites de leurs concepteurs, on trouve facilement des centaines et des centaines d’applications. Toutes ne se valent pas néanmoins et il peut-être difficile de s’y retrouver dans la masse. C’est pourquoi nous vous proposons ce guide qui rassemble une quinzaine de logiciels. Nous n’avons pas cherché à être exhaustif, mais plutôt à rassembler quinze applications de base, à conserver dans un coin de son Mac ou à utiliser au quotidien selon les cas. Il y en a pour les débutants et pour les utilisateurs plus confirmés quel que soit votre niveau, vous devriez y trouver quelque chose d’intéressant. Cliquer pour agrandir Un seul impératif nous n’avons choisi que des logiciels gratuits, même si certains sont associés à des offres payantes et optionnelles. Et à côté de chaque logiciel retenu, nous vous proposons quelques alternatives, parfois payantes, pour couvrir tous les besoins. Chercher et lancer Alfred Pour utiliser un logiciel, encore faut-il l’ouvrir. Bien sûr, vous pouvez ajouter des icônes au Dock, mais à moins d’avoir un écran vraiment grand, la place y est limitée. Bien sûr, vous pouvez ouvrir le dossier dédié aux applications et chercher celle que l’on veut ouvrir, mais c’est un processus complexe. On a toutefois plusieurs solutions qui sont bien meilleures on peut afficher le LaunchPad touche F4 sur les claviers ou pincement sur le trackpad avec tous les doigts et commencer à taper le nom du logiciel. Ou bien utiliser Spotlight, la fonction de recherche intégrée à OS X, qui est devenue plus complète avec les dernières versions du système. Spotlight est capable de lancer un logiciel, mais aussi de trouver un fichier stocké sur le Mac et même un site internet. Mais ça ne fonctionne pas toujours aussi bien qu’on le voudrait. Cliquer pour agrandir Spotlight ne se contente pas de lancer des logiciels, il peut aussi trouver n’importe quel document stocké sur votre ordinateur, et il est même capable d’effectuer quelques recherches sur internet. Toutefois, si vous voulez aller plus loin, nous vous recommandons d’opter pour un autre lanceur, beaucoup plus complet et compétent. Et en la matière, notre choix est Alfred. C’est le lanceur le plus récent sur Mac, mais il a été lancé depuis quelques années maintenant et il est devenu extrêmement complet et puissant. À tel point que cela peut devenir un problème si vous débutez, mais voici comment il faut procéder. Téléchargez le logiciel et découvrez progressivement ses fonctions. Vous pouvez vous contenter, pour commencer, de quelques recherches sur internet — on peut chercher directement un article sur Wikipedia, ou une vidéo sur YouTube, par exemple. Alfred en recherche web le mot clé macg » restreint la recherche à MacGeneration, mais vous pouvez naturellement changer ce réglage selon vos besoins. Cliquer pour agrandir Vous aurez bien le temps ensuite de découvrir toutes ses autres fonctions, ses processus qui l’enrichissent encore lire Alfred 2 aller plus loin avec quelques workflows et puis sa gestion du presse-papier ou encore son contrôle d’iTunes. Alfred est impressionnant au premier abord, c’est vrai, mais vous n’avez pas à vous préoccuper de tout ce qu’il fait tout de suite. Fiche technique Prix gratuit pour les fonctions de base, 17 £ pour tout débloquer Langue anglais Système OS X Mac App Store non Alternatives QuickSilver après 12 ans d’existence, il n’est plus vraiment maintenu, mais il a l’avantage d’être gratuit et libre. Launchbar le vétéran, créé avant même OS X pour NeXT. Il conserve quelques fonctions spécifiques et de nombreux fans, mais il est forcément payant 24 €. Gérer ses fenêtres Spectacle OS X a fait des progrès en matière de gestion de fenêtre, mais il reste encore beaucoup de choses que l’on ne peut pas faire avec les outils de base. Spectacle en fait beaucoup plus avec une série de raccourcis clavier ou avec une commande dans la barre des menus. On peut caler une fenêtre à droite ou à gauche, mais aussi dans un coin, ou encore la déplacer sur un autre écran. Spectacle propose beaucoup d’options, mais on n’a pas à tout utiliser d’un coup. Chaque raccourci clavier peut également être modifié selon vos envies et habitudes. Cliquer pour agrandir Spectacle propose énormément d’options, mais vous n’avez pas besoin de tout utiliser tout de suite. Commencez par apprendre un ou deux raccourcis clavier que vous utiliserez en permanence, puis enrichissez progressivement votre connaissance de ses fonctions. Fiche technique Prix gratuit et libre Langue français Système OS X Mac App Store non Alternatives En matière de gestion de fenêtres, il y autant de réponses qu’il y a d’utilisateurs. Êtes-vous plutôt raccourci clavier ou gestion à la souris ? Avez-vous besoin de deux options ou d’une vingtaine ? Pour mieux vous aider à choisir, notre comparatif rassemble les meilleures options. Prendre des notes Evernote Pour prendre des notes, Evernote reste un incontournable. Par rapport aux dizaines et dizaines de concurrents, ce gestionnaire de notes conserve l’avantage de ne pas se limiter au texte. On peut tout y stocker dedans, y compris des photos ou des papiers numérisés avec son iPhone l’application iOS fait ça très bien ou avec un scanner dédié. Certains modèles s’intègrent avec Evernote et on peut numériser toute la paperasse sans ordinateur à côté ! Cliquer pour agrandir Evernote est gratuit, mais bridé dans ce cas là. On ne peut pas envoyer autant de données que l’on veut sur les serveurs de l’entreprise 60 Mo par mois et on ne bénéficie des fonctions d’OCR qui permettent de chercher du texte dans les images, une fonction parfaite quand on veut l’utiliser pour stocker toutes ses factures. Pour débloquer le tout, comptez 40 € par an. Fiche technique Prix gratuit pour les fonctions de base, à partir de 20 € par an pour les fonctions supplémentaires Langue français Système OS X Mac App Store oui Alternatives Notes le logiciel d’Apple a énormément évolué et la dernière version en fait beaucoup plus qu’avant. Et dans bien des cas, il suffit largement, surtout si on l’utilise pour prendre des notes manuscrites sur iOS. Simplenote ce gestionnaire de notes existe depuis plusieurs années et reste l’un des meilleurs si vous vous contentez de texte brut. L’application et le service sont totalement gratuits, la synchronisation très rapide. Annoter des images Skitch Skitch est un outil ancien, mais qui a connu plusieurs changements de direction au fil des années, sans pour autant perdre de vue son rôle original. À sa sortie, en 2007, il a surpris avec son interface innovante et ses fonctions rares, pour l’époque. Il a malheureusement beaucoup stagné par la suite, avant un passage un peu difficile sous le giron d’Evernote. Cliquer pour agrandir Tout ça, c’est de l’histoire ancienne aujourd’hui et Skitch est désormais gratuit, et plutôt complet. Pour prendre une capture d’écran, l’annoter et la partager rapidement via son propre serveur si on le souhaite, il n’y a pas vraiment mieux, en tout cas pas aussi simple. Fiche technique Prix gratuit, abonnement pour synchroniser avec Evernote Langue français Système OS X Mac App Store oui Alternatives Aperçu pas besoin d’aller chercher ailleurs pour annoter des images, OS X propose toutes les fonctions nécessaires pour prendre une capture d’écran et ajouter des notes. Mais il faut reconnaître que c’est moins pratique et rapide qu’avec Skitch. Napkin aussi simple que Skitch, mais avec la possibilité de combiner plusieurs images pour en créer une nouvelle. Vendu 40 €. Accéder au calendrier Itsycal Itsycal est un utilitaire qui vient se loger dans la barre des menus d’OS X et qui affiche votre calendrier d’un clic. On peut se contenter de la vue mensuelle, mais on peut aussi y afficher tous les évènements enregistrés dans les calendriers. De quoi garder un œil sur ses rendez-vous et même d’en ajouter rapidement, sans avoir à lancer le Calendrier d’OS X. Cliquer pour agrandir Cet utilitaire est bien conçu, traduit en français et cerise sur le gâteau, il est totalement gratuit. Si vous n’avez pas envie d’utiliser un calendrier complet en permanence, c’est une excellente alternative. Fiche technique Prix gratuit Langue français Système OS X Mac App Store non Alternative Fantastical même principe, mais avec plus de fonctions, une interface plus soignée et un moteur en langage naturel pour ajouter des rendez-vous et tâches. Il fait bien mieux sur tous les points, mais il coûte 40 €… Gérer ses tâches Wunderlist Désormais propriété de Microsoft, Wunderlist est l’un des premiers gestionnaires de tâches à avoir opté pour le cloud, et il reste aujourd’hui encore l’un des meilleurs si vous avez besoin de synchroniser des tâches. À la base, c’est un service web et on peut l’utiliser sans logiciel, mais la version Mac est agréable et bien intégrée au système. Cliquer pour agrandir Wunderlist propose bien un abonnement payant pour les plus gros besoins, mais les limites imposées sur la version gratuite sont suffisamment larges pour convenir à la majorité des cas. L’application propose en outre plusieurs fonctions de partage très utiles, et pas qu’en entreprise c’est aussi parfait pour envoyer une liste de course. Fiche technique Prix gratuit, abonnement payant pour les plus gros utilisateurs 50 € par an Langue français Système OS X Mac App Store obligatoire Alternatives Clear handicapée par une synchronisation défaillante, cette application propose toujours la meilleure interface si on ne veut pas gérer des tâches, mais noter des listes de choses à faire. Comptez 10 € sur Mac. Rappel le gestionnaire de tâches intégré à OS X es loin d’être complet, mais il a un gros avantage sur iOS, son intégration à Siri. Puisqu’il se synchronise avec le Mac, ça en fait un bon candidat. Écouter de la musique VOX VOX est une vieille application, qui a été complètement revue ces dernières années. À l’origine, il s’agissait uniquement d’un lecteur de musique capable de décoder n’importe quel fichier et parfait pour lire un album stocké sous la forme d’un dossier sur le disque dur. Désormais, il en fait beaucoup plus, peut servir de lecteur pour iTunes et il dispose même de son équivalent à iTunes Match, un service pour mettre en ligne sa musique et y accéder à distance. Cliquer pour agrandir Disons-le, VOX en fait peut-être trop, alors que son interface est toujours restée aussi compacte. Mais pour lire quelques fichiers stockés en local, on ne connaît rien d’aussi simple et de gratuit. Il suffit de lancer un fichier dans un album et l’application lira tous les autres fichiers à la suite difficile de faire plus rapide. Fiche technique Prix gratuit, options payantes pour les radio internet et pour accéder à sa musique depuis le cloud Langue français Système OS X Mac App Store oui Alternatives Spotify le service de streaming dispose d’une offre gratuite et financée par la publicité. Si vous voulez écouter n’importe quel morceau sur votre Mac, c’est aussi une bonne solution. iTunes mal-aimé par certains, le logiciel d’Apple reste un incontournable pour écouter et surtout gérer sa musique. C’est le seul à proposer autant d’options pour trier des albums exactement comme on le souhaite. Et il est gratuit… Lire des vidéos VLC Pour lire n’importe quelle vidéo, VLC fait figure de référence depuis tant d’années qu’on est presque surpris de le sélectionner. Mais force est de constater que la multiplication des alternatives n’a jamais détrôné de sa place de couteau-suisse de la vidéo. Son interface n’est peut-être pas la plus élégante qui soit, ses réglages sont toujours aussi incompréhensibles, mais il fait le travail et ne rechigne jamais à ouvrir un fichier. VLC en action — Cliquer pour agrandir Gratuit et libre, entièrement traduit en français… VLC ne souffre d’aucun vrai défaut et il est disponible partout, y compris sur les appareils iOS et bientôt sur l’Apple TV. Autant de raisons de le recommander, c’est un logiciel indispensable à garder dans un coin du dossier Applications. Fiche technique Prix gratuit et libre Langue français Système OS X Mac App Store non Alternatives mpv contrairement à VLC, il se contente de lire les fichiers, mais le fait très bien. Ce logiciel gratuit et libre, le plus léger et le plus optimisé de tous, impossible de le mettre en défaut ! Plex si vous cherchez beaucoup plus que de lire des vidéos, ce media-center complet est la solution. Son module serveur indexe et organise les fichiers, le lecteur permet alors de choisir un film ou une série à regarder. Convertir des vidéos Handbrake Lui aussi est un logiciel que l’on a sur notre Mac depuis des années et des années. Il faut dire que Handbrake est un couteau-suisse dès lors qu’il faut convertir des vidéos il accepte tous les formats imaginables en entrée, et propose des dizaines d’options en sortie. C’est l’outil indispensable pour convertir des vidéos pour un appareil iOS ou même une Apple TV, ou encore pour réduire la taille d’un fichier avant de le partager. Cliquer pour agrandir Handbrake n’est pas traduit en français, mais son fonctionnement reste assez simple si on n’entre pas dans les détails de ses paramètres. Il est gratuit et libre et VLC doit être installé pour qu’il fonctionne correctement. Fiche technique Prix gratuit et libre Langue anglais Système OS X Mac App Store non Alternative iFlicks si vous voulez uniquement enrichir votre bibliothèque iTunes avec des DVD ou d’autres fichiers, cet utilitaire est plus simple d’accès. Il est aussi plus cher 19 € et ne fait rien de plus que Handbrake. Faire des calculs Numi OS X est livré avec une application calculatrice, c’est vrai, mais on peut faire mieux en 2015. Numi le prouve bien toujours présente dans la barre des menus d’OS X, cette application permet d’effectuer des calculs simples, mais ce n’est qu’une petite partie de ses fonctions. On peut mêler texte et chiffres pour donner du contexte, on peut convertir des valeurs et même des durées, ou encore connaître l’heure à l’autre bout du monde. Quelques exemples de ce que peut faire Numi, des calculs les plus simples aux conversions de fuseaux horaires. Cliquer pour agrandir Gratuit pendant la bêta on ne sait pas encore si le logiciel sera payant à sa sortie, Numi est complet et entièrement traduit en français. On peut s’en servir pour de petits calculs rapides, ou pour créer un document avec les calculs que l’on veut conserver. Fiche technique Prix gratuit pendant la bêta Langue français Système OS X Mac App Store non Alternative Soulver c’est la référence pour tous ceux qui veulent des calculs plus sophistiqués et avec un contexte. Le logiciel est toutefois plus cher 12 € et moins simple que Numi sur certains points. Modifier du code Textmate Voici encore un logiciel présent sur le devant de la scène depuis des années et qui n’a pas pris une ride. Textmate n’a pas pour lui une interface très moderne, mais il fonctionne parfaitement, connaît les particularités de tous les langages courants pour les afficher correctement et souvent proposer une autocomplétion bien utile. Et avec son écosystème de modules additionnels, on peut en faire un éditeur de blog, un gestionnaire de projets et bien d’autres choses encore. Cliquer pour agrandir Même si son développement a été ralenti, Textmate reste un projet libre et gratuit à jour. Il fonctionne avec les toutes dernières versions d’OS X et il reste encore très populaire, ce qui lui permet de ne pas être en retard sur le plan technologique. On peut ainsi d’ores et déjà coder en Swift, par exemple… Fiche technique Prix gratuit et libre Langue anglais Système OS X Mac App Store non Alternative TextWrangler autre vétéran dans la catégorie, cet éditeur de code est la version gratuite et bridée de BBEdit. Pour des petites modifications, l’essentiel y est toutefois. Protéger sa vue Plusieurs études ont prouvé que la lumière bleue était mauvaise pour s’endormir, et qu’à l’inverse, la lumière rouge facilitait une bonne nuit de sommeil. Or tous les écrans diffusent beaucoup de lumière bleue, beaucoup trop pour ne pas avoir un impact négatif sur la qualité de notre sommeil. Fort de ce constat, est un utilitaire qui change la colorimétrie de votre écran en soirée. Les réglages de le plus important est le champ de géolocalisation. Le logiciel connaît ainsi les horaires de lever et coucher du soleil, un paramètre indispensable pour ajuster les couleurs de l’écran. Cliquer pour agrandir a besoin de connaître votre emplacement géographique pour savoir quand le soleil se lève et se couche chez vous. À partir de cette information, tout se fait automatiquement le soir, la colorimétrie de l’écran tend de plus en plus vers le jaune et même vers le rouge au cœur de la nuit. Vous n’avez pas à intervenir et l’utilitaire dispose de nombreuses options pour fonctionner selon vos besoins. On peut notamment revenir à la colorimétrie normale quand on modifie une photo et que l’on a besoin des vraies couleurs. Cet utilitaire est gratuit et il fonctionne sur tous les ordinateurs versions OS X, Windows et Linux. Fiche technique Prix gratuit Langue anglais Système OS X Mac App Store non Empêcher son Mac de veiller Amphetamine Amphetamine est un utilitaire bien pratique si vous voulez éviter la mise en veille de votre Mac de façon temporaire. Vous pouvez naturellement modifier le réglage du Mac, mais ce logiciel permet plus simplement de cliquer sur une icône dans la barre des menus. Par défaut, tant que vous ne cliquez pas à nouveau sur l’icône, OS X ne passera pas en veille parfait pour les présentations ! Le menu d’Amphetamine et ses multiples réglages. Cliquer pour agrandir Le logiciel est gratuit et propose des dizaines et des dizaines d’options pour l’ajuster précisément à vos besoins. Ne prenez pas peur toutefois son mode de fonctionnement peut être très simple. Un clic droit sur l’icône active et désactive le blocage, et c’est tout. Fiche technique Prix gratuit Langue anglais Système OS X Mac App Store obligatoire Alternative KeepingYouAwake un clone de Caféine, le premier logiciel qui a proposé cette fonction. Cet utilitaire est beaucoup plus simple, puisqu’il n’a aucun réglage un clic, il s’active, un autre, il se désactive. Sauvegarder son Mac SuperDuper! Installer des logiciels, c’est bien, mais votre Mac est-il bien sauvegardé ? Si ce n’est pas le cas, il n’est jamais trop tard pour s’y mettre et SuperDuper! est un outil simple, qui le fait très bien et qui est gratuit pour un usage de base. Il est beaucoup moins complexe que la majorité des logiciels de la catégorie et on peut se contenter de choisir le volume à sauvegarder, la destination de la sauvegarde et de lancer la procédure. L’interface de SuperDuper! est très simple choisissez une source et une destination, et lancez la sauvegarde. Cliquer pour agrandir En achetant une licence, SuperDuper! en fait plus sauvegardes incrémentales transfert uniquement de ce qui a été modifié, programmation des sauvegardes, etc. Néanmoins, pour un usage de base, on peut obtenir un clone de son Mac simplement et gratuitement. Fiche technique Prix gratuit pour les fonctions de base 28 € pour tout débloquer Langue anglais Système OS X Mac App Store non Alternatives CarbonCopyCloner grand concurrent de SuperDuper!, il propose les mêmes fonctions, avec l’avantage de créer des sauvegardes sur lesquelles on peut redémarrer son Mac en cas de problème. Mais il est payant 36 €. Autres options en matière de sauvegarde, il n’y a pas une seule réponse. Selon vos besoins, peut-être que TimeMachine ou un service de sauvegarde en ligne comme Backblaze sera la meilleure solution. Pour tout savoir sur le sujet, reportez-vous à notre guide numérique. Supprimer des logiciels AppCleaner Après avoir présenté tous ces logiciels, en voici un indispensable pour finir AppCleaner. Comme son nom le suggère, cet utilitaire gratuit permet de nettoyer une application pour la supprimer proprement. Placer le fichier .app à la corbeille ne suffit pas en général, il reste des fichiers associés, comme des préférences ou des éléments stockés en local. Cliquer pour agrandir Quand on glisse un logiciel à supprimer sur l’interface d’AppCleaner, ce dernier trouve tout ce qui est associé et peut le supprimer en même temps. L’utilisateur conserve la main et on peut choisir de ne supprimer qu’une partie des fichiers associés. Pratique pour conserver les préférences, par exemple. Fiche technique Prix gratuit Langue français Système OS X Mac App Store non Entretenir son Mac OnyX OnyX est un utilitaire bien connu, et ce depuis plusieurs années. Grâce à lui, on peut accéder à plusieurs outils de maintenance et de nettoyage qui permettent de maintenir son Mac en forme. On peut aussi modifier des paramètres habituellement masqués et ainsi adapter OS X à ses besoins. Cliquer pour agrandir Gratuit et toujours mis à jour pour les dernières versions d’OS X, OnyX est un outil pratique, mais à pratiquer avec précaution. Ce n’est pas pour rien qu’un mot de passe administrateur est demandé à l’ouverture vous pouvez très bien casser quelque chose si vous l’utilisez mal… À réserver aux utilisateurs avertis, donc. Fiche technique Prix gratuit Langue français Système OS X Mac App Store non Alternative CleanMyMac bénéficiant d’une interface plus moderne, cet utilitaire ne remplace pas totalement OnyX, mais c’est un complémentaire intéressant pour nettoyer et optimiser le Mac. Vendu 40 €. Afin de pouvoir être distingués et trouvés facilement, il est primordial que les ordinateurs du réseau aient des noms individuels. Cela permet d’échanger des données et de procéder au dépannage plus efficacement. Cependant, très peu d’utilisateurs en sont conscients, ne connaissent pas le nom de leur PC ou ne savent pas comment trouver celui-ci. Apprenez ici comment trouver le nom de votre ordinateur en utilisant la commande CMD et les raccourcis signifie le nom de l’ordinateur ?Connaître le nom de son PC sous Windows 10 voici comment faireUtilisation de la fonction de recherchePar la combinaison de touches [Windows] + [Pause]Via les paramètresUtilisation du hostname de la commande CMDWindows 7 comment savoir le nom de son PCVia le menu DémarrerUtilisation de la combinaison [Windows] + [Pause]Utilisation du hostname de la commande cmdComment savoir le nom de son PC sous Windows 8Via le menu DémarrerPar combinaison de touchesUtilisation des paramètresUtilisation du hostname de la commande CMDConnaître le nom de son PC sous MacVia le menu DémarrerDécouvrez le nom de l’hôte localTrouver le nom de son PC au moyen de l’adresse IPDomaine Internet pas cherBien plus qu'un simple domaine !Personnalisez votre présence en ligne avec un nom de domaine SSLAssistance 24/7Que signifie le nom de l’ordinateur ?Le nom de l’ordinateur, également appelé nom de l’appareil ou hostname, soit nom d’hôte en français, est utilisé pour identifier un ordinateur sur un réseau. Pour les ordinateurs avec un système d’exploitation préinstallé, un nom aléatoire de l’ordinateur par exemple DESKTOP-BRA0TN » est déjà prédéfini. Cependant, si l’ordinateur fait partie d’un réseau informatique, chaque appareil a besoin d’un nom unique et non ambigu, car la double dénomination sur un réseau informatique interfère avec le transfert de données, l’infrastructure informatique et la résolution de cette raison, il est souvent nécessaire de modifier manuellement le nom de l’ordinateur. Toutefois, cela ne peut se faire que si vous savez comment trouver le nom du PC. NoteLe nom de l’ordinateur n’est d’ailleurs pas identique au nom d’utilisateur ou à l’adresse IP. Bien que plusieurs comptes d’utilisateurs puissent exister sur un appareil, le nom de l’ordinateur reste le même pour tous les utilisateurs de l’appareil. L’adresse IP fonctionne comme le numéro de téléphone d’un ordinateur et, comme pour tout numéro de téléphone, elle a besoin d’un nom correspondant. Grâce au nom unique de l’ordinateur, l’ordinateur peut être reconnu et être accessible via le tant qu’utilisateur de Windows 10, vous disposez de plusieurs moyens pour trouver le nom de l’ de la fonction de rechercheTapez PC » dans la barre de recherche Windows en bas à avec le bouton droit de la souris sur Ce PC ».Sélectionnez l’élément de menu Propriétés ».Le nom de l’ordinateur est affiché sous Nom complet ».Par la combinaison de touches [Windows] + [Pause]Appuyez simultanément sur la touche [Windows] et sur la touche [Pause].Voir Nom de l’ordinateur, domaine et paramètres du groupe de travail » pour le nom complet de l’ les paramètresAppuyez sur [Windows] et [i] pour accéder aux paramètres de Windows sur Système ».Dans le menu latéral, allez à Informations système ».Le nom de l’ordinateur se trouve dans la section Spécifications de l’appareil » sous Nom de l’appareil ».Utilisation du hostname de la commande CMDUtilisez la combinaison de touches [Windows] + [R] pour ouvrir la boîte de dialogue cmd » et appuyez sur la touche hostname » et appuyez à nouveau sur la touche nom de l’ordinateur apparaît sur la ligne 7 comment savoir le nom de son PCDans Windows 7 également, il existe différentes façons de trouver le nom de son le menu DémarrerCliquez sur le bouton Démarrer ».Effectuez un clic droit sur Ordinateur ».Sélectionnez l’élément de menu Propriétés ».Le nom de l’ordinateur est affiché dans la boîte de dialogue sous Nom complet de l’ordinateur ».Utilisation de la combinaison [Windows] + [Pause]Appuyez simultanément sur la touche [Windows] et sur la touche [Pause].Dans la boîte de dialogue Système » qui s’ouvre, vous verrez le nom de l’ordinateur sous Nom complet de l’ordinateur ».Utilisation du hostname de la commande cmdOuvrez la boîte de dialogue Exécuter » avec le raccourci [Windows] + [R].Entrez cmd » et appuyez sur Entrée ».Tapez hostname » et appuyez à nouveau sur Entrée ».Le nom de l’ordinateur est alors savoir le nom de son PC sous Windows 8Même sous Windows 8 et le nom du PC peut être trouvé le menu DémarrerAppuyez sur la touche Ordinateur » dans la barre de recherche qui s’ avec le bouton droit de la souris sur Ordinateur » et sélectionnez Propriétés ».Le nom de l’ordinateur est affiché sous Nom complet de l’ordinateur ».Par combinaison de touchesUtilisez la combinaison de touches [Windows] et la touche [Pause].Le nom de l’ordinateur est affiché dans la boîte de dialogue du système sous Nom complet de l’ordinateur ».Utilisation des paramètresAppuyez simultanément sur les touches [Windows] et [i].Cliquez sur Paramètres PC » dans la barre des l’option PC et appareils ».Le nom de l’ordinateur se trouve en haut de Nom de l’ordinateur ».Utilisation du hostname de la commande CMDOuvrez la boîte de dialogue Exécuter avec la touche [Windows] + la touche [R].Saisissez cmd » et appuyez sur la touche hostname » et confirmez par la touche Entrée ».Le nom de l’ordinateur est alors le nom de son PC sous MacMême en tant qu’utilisateur de Mac, il est possible de trouver le nom de son PC. Les options présentées ci-dessous sont particulièrement faciles à le menu DémarrerCliquez sur l’icône Apple dans le coin inférieur sur Préférences système ».Sélectionnez Partage ».Le nom de l’ordinateur est affiché en le nom de l’hôte localCliquez sur l’icône Apple dans le coin inférieur sur Préférences système ».Cliquez sur Partage ».Le nom de l’hôte local se trouve sous le nom de l’ le nom de son PC au moyen de l’adresse IPDans le cas où le logiciel de sécurité d’un réseau détecte une vulnérabilité sur un ordinateur spécifique, mais que seule l’adresse IP est connue, le nom de l’ordinateur peut être trouvé en utilisant la boîte de dialogue Exécuter et la commande CMD ce faire, ouvrez la boîte de dialogue Exécuter [Windows] + [R], entrez cmd » et appuyez sur Entrée ». Saisissez maintenant la commande CMD nbtstat » suivie d’un espace et de l’adresse IP correspondante et appuyez à nouveau sur Entrée » Vous verrez ensuite le nom de l’ordinateur, le groupe de travail informatique et l’adresse de l’ordinateur similairesComment connaître sa version de Windows ? Vous utilisez Windows, mais vous ne savez pas quelle version du système d’exploitation est installée sur votre ordinateur ? Nous vous indiquons ici trois façons de déterminer en quelques secondes de quelle version de Windows votre ordinateur est équipé, par combinaison de touches, en passant par le panneau de configuration ou à l’aide d’une invite de commande de Windows CMD. Trouver une adresse IP votre adresse numérique sur Internet Une adresse IP est attribuée à tous les appareils d’un réseau d’ordinateurs. De cette façon, ils sont adressables et identifiables sans équivoque. L’adresse IP permet de transporter des paquets de données de l’expéditeur au destinataire. Grâce à cette adresse, les routeurs peuvent adresser chaque paquet de données au bon destinataire. Mais comment trouver une adresse IP ?

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