c'est la petite bête qui monte, qui monte, qui guili" "Il attend ce moment avec impatience, s'y prépare, parce qu'il connaît la chûte. "Bateau, sur l’eau, La rivière, la rivière, Bateau, sur l’eau La rivière au bord de l’eau. Le bateau a chaviré . Tous les enfants sont tombés . Plusde vidéos de comptines sur la chaîne Youtube Comptines TV. Et les albums sont en vente ici. PAROLES: Bateau sur l'eau La rivière, la rivière Bateau sur l'eau La rivière au bord de l'eau. Bateau sur l'eau La rivière, la rivière Bateau sur l'eau La rivière et ‘plouf !’ dans l'eau. Bateau sur l'eau La rivière, la rivière Bateau Surle bord de la rivière La sorcière vient pour faire peur aux petits Momes mais elle va avoir une surprise! Une comptine sur Halloween. 3 - 11 âge Imprimer la comptine Les paroles de la comptine Sur le bord de la rivière Sur le bord de la rivière, ah! ah! ah! ah! ah! ah! ah! vivait une drôle de sorcière ah! ah! ah! ah! ah! ah! ah! Lesplantes avaient soif, les animaux avaient soif, et les hommes aussi avaient terriblement soif. Alors tous se réunirent pour chercher un moyen de récupérer l'eau de la terre. « Il faut qu'elle ouvre sa large bouche afin que l'eau rejaillisse sur la terre. – Si on la fait rire, dit quelqu'un, elle ouvrira la bouche, et l'eau débordera. Lebord de la rivière, un film de Allan Dwan | Synopsis : Un gangster oblige son ancienne maîtresse et le mari de celle-ci à l'accompagner dans sa fuite vers le Mexique. Il Unpetit bateau sur la rivière J’ai fait faie Un petit bateau pou passe l’eau Le petit bateau s’est envesé Le petit bonhomme s’est mouillé. J’ai fait faie Un petit bateau sur la rivière J’ai fait faire Un petit bateau pou passe l’eau. Balalin, Balalan, Les cloches de Montauban Sont tombés dans l’étang. ui l’a fait ? Le chat. ITQBW. La carpe et les carpillons fables La carpe et les carpillons Prenez garde, mes fils, côtoyez moins le bord, Suivez le fond de la rivière ; Craignez la ligne meurtrière, Ou l'épervier plus dangereux encor. C'est ainsi que parlait une carpe de Seine A de jeunes poissons qui l'écoutaient à peine. C'était au mois d'avril les neiges, les glaçons, Fondus par les zéphyrs, descendaient des montagnes. Le fleuve, enflé par eux, s'élève à gros bouillons, Et déborde dans les campagnes. Ah ! ah ! criaient les carpillons, Qu'en dis-tu, carpe radoteuse ? Crains-tu pour nous les hameçons ? Nous voilà citoyens de la mer orageuse ; Regarde on ne voit plus que les eaux et le ciel, Les arbres sont cachés sous l'onde, Nous sommes les maîtres du monde, C'est le déluge universel. Ne croyez pas cela, répond la vieille mère ; Pour que l'eau se retire il ne faut qu'un instant Ne vous éloignez point, et, de peur d'accident, Suivez, suivez toujours le fond de la rivière. Bah ! disent les poissons, tu répètes toujours Mêmes discours. Adieu, nous allons voir notre nouveau domaine. Parlant ainsi, nos étourdis Sortent tous du lit de la Seine, Et s'en vont dans les eaux qui couvrent le pays. Qu'arriva-t-il ? Les eaux se retirèrent, Et les carpillons demeurèrent ; Bientôt ils furent pris, Et frits. Pourquoi quittaient-ils la rivière ? Pourquoi ? je le sais trop, hélas ! C'est qu'on se croit toujours plus sage que sa mère C'est qu'on veut sortir de sa sphère, C'est, que... c'est que... je ne finirai pas. DE FLORIAN Vidéo recommandée par un internaute si disponible Texte lu 4221 fois ! Commentaires sur cette comptine -> Pas de commentaires actuellement !

sur le bord de la rivière comptine